« À la lecture du rapport des commissaires enquêteurs sur le PLUi et en particulier l’OAP Sablassou avec le projet de transfert de la clinique du Parc, une évidence s’impose : ce rapport est directement inspiré de l’argumentaire de mes opposants, reprenant largement leur allégations et leurs erreurs majeures ».
Dès la première lecture, j’observe que ce rapport comporte des erreurs flagrantes. Le reproche de ne pas avoir pris en compte le porter à connaissance du PPRI ruissellement est une erreur manifeste. Cette affirmation est tout simplement fausse — ce document a bien été intégré aux modifications apportées par les services de la métropole.
II est encore plus étonnant que les commissaires enquêteurs ne se soient pas aperçus que le périmètre proposé est déjà urbanisé et impacte les terres agricoles et viticoles que très marginalement.
Ils passent comme l’opposition sous silence les 130 hectares supplémentaires désormais sacralisés en terres agricoles.
Pourtant, les castelnauviens se sont déplacés en nombre et ont très majoritairement soutenu ce projet de déplacement. Leur avis n’est pas pris en compte.
Nous nous retrouvons comme pour la gendarmerie de PIGNAN, le COM ou l’A69, face à une fronde idéologique d’une poignée d’anti-tout qui, sans rien proposer de sérieux, influence les Commissions et Autorités chargées de donner leur avis.
Le danger est là et il est risqué : que Castelnau perde sa Clinique. A force de jouer un mauvais jeu politicien, les oppositions font courir le risque réel d’un départ de la Clinique et ainsi d’un appauvrissement majeur de l’offre médicale sur Castelnau et de l’emploi.
Mon devoir de maire est de tout mettre en œuvre pour que la clinique du Parc reste à Castelnau-le-Lez. » Frédéric LAFFORGUE – Maire de Castelnau le Lez